Immortel (ad vitam)

Synopsis

Dans un futur dystopique, la ville de New York est devenue une métropole où cohabitent l'homme et le numérique. L'histoire d'Immortel (ad vitam) suit l'avatar du célèbre pharaon Toutankhamon, qui revient à la vie pour chercher l'amour et redécouvrir son existence dans un monde où la mort n'est plus une fin. Les humains sont soumis à la dictature d'une corporation, et le destin de l'humanité est entre les mains d'un homme qui ne peut mourir. Entre exploration des thèmes d'immortalité, de l'identité et de l'amour, le film nous plonge dans un univers graphique fascinant, où l'animation numérique et l'image réelle se mélangent pour créer une atmosphère unique, mais dérangeante. Les personnages, y compris celui incarné par Linda Hardy, évoluent dans un monde où la spiritualité et la technologie s'affrontent, soulevant des questions sur l'avenir de l'humanité.

Distribution et personnages

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  Linda Hardy

  Jill

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  Thomas Kretschmann

  Nikopol

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  Charlotte Rampling

  Elma Turner

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  Yann Collette

  Froebe

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  Frédéric Pierrot

  John

• Thomas M. Pollard

  Horus

Critiques

La réception d'Immortel (ad vitam) a été mitigée, tant par le public que par les critiques. Sur Rotten Tomatoes, le film a obtenu un faible 38% de critiques positives, tandis qu'il se maintient à 5.9 sur IMDb. Certains critiques ont salué le film pour ses effets visuels audacieux et son ambiance unique, avec Screen Rant louant "la façon dont le film fusionne l'animation et les prises de vue réelles pour créer un univers visuellement captivant". Cependant, d'autres ont noté des faiblesses dans le scénario, suggérant que "le film peine à raconter une histoire cohérente, perdant le spectateur dans ses nombreux éléments visuels". Selon Metacritic, la note globale est d'environ 54%, indiquant des opinions mitigées. Le film est souvent décrit comme "réussi sur le plan esthétique mais confus sur le plan narratif". Les performances des acteurs, en particulier celle de Linda Hardy, ont été reconnues, mais beaucoup ont regretté que la profondeur des personnages ne soit pas exploitée. Ainsi, Immortel (ad vitam) reste une œuvre divisant les audiences, admirée pour son style mais critiquée pour son contenu narratif.