Ko Aham?

Synopsis

Rahul, un jeune négociant en diamants plein d’ambition, mène une existence ultramoderne rythmée par les échanges commerciaux et la recherche de profits. Un jour, un accident imprévu dans le désert l’oblige à faire halte dans un petit village isolé. Là, il fait la rencontre d’un sage local qui l’entraîne dans une quête intérieure surprenante. À travers des paysages arides et des rituels millénaires, Rahul va remettre en question ses certitudes, son rapport à l’argent et son identité profonde. « Ko Aham? » déploie une narration contemplative où chaque plan devient méditation et chaque dialogue, une invitation à réfléchir sur la nature de soi-même. Le film de Chetan Sharma conjugue esthétisme visuel et profondeur philosophique, offrant un voyage spirituel sans renoncer à la tension dramatique.

Distribution et personnages

• Chetan Sharma

  Bhavitavya / Sadanand

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  Surendra Rajan

  Swamiji

• Rishika Chandani

  Aditi

• Shashie Verma

  V.L.N Sir

Critiques

« Ko Aham? » a suscité des réactions contrastées de la part des critiques. Sur IMDb, le film recueille une note moyenne de 5,6/10 basée sur plusieurs centaines d’avis d’utilisateurs : certains louent « l’audace visuelle et l’atmosphère envoûtante », tandis que d’autres regrettent un rythme jugé trop languissant. The Times of India lui attribue 3/5 et écrit : « Malgré quelques longueurs, le long métrage brille par ses images poétiques et sa réflexion sur l’identité ». En revanche, la critique de NDTV, qui lui donne 2,5/5, pointe « un scénario trop abstrait et des enjeux dramatiques sous-exploités ». Sur Rotten Tomatoes, aucun score officiel n’est encore disponible faute d’un nombre suffisant de critiques agréées, ce qui reflète la diffusion limitée du film à l’international. Enfin, Metacritic n’a pas encore publié d’évaluation formelle, tandis que plusieurs blogs spécialisés reconnaissent néanmoins « une véritable ambition artistique même si l’exercice divise ». Globalement, « Ko Aham? » est perçu comme un essai cinématographique exigeant, salué pour sa photographie et son message introspectif, mais critiqué pour son accessibilité restreinte.