WCW SuperBrawl: Return from The Rising Sun

Synopsis

WCW SuperBrawl: Return from The Rising Sun est le deuxième pay-per-view de la WCW organisé le 2 février 1992 depuis le Sumo Hall de Tokyo. Placé sous le signe du renouveau et de l’échange culturel entre l’Amérique et le Japon, l’événement met en scène les plus grandes stars de la promotion dirigée par Ric Flair (sous son vrai nom Richard Fliehr), Harlem Heat, The Steiner Brothers et la rivalité naissante entre Sting et The Great Muta. Au fil des combats, les affrontements oscillent entre prouesses athlétiques et mise en scène spectaculaire, avec des prises venues tout droit de la New Japan Pro-Wrestling. L’atmosphère unique du Sumo Hall, accompagnée de chants de supporters japonais et de séquences filmées dans les rues de Tokyo, offre aux téléspectateurs une immersion totale. Sans dévoiler les fins de match, ce retour au pays du Soleil-Levant symbolise l’apogée d’une ère où les superstars de la WCW repoussent leurs limites pour offrir un spectacle inoubliable aux fans du monde entier.

Distribution et personnages

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  Ric Flair

  Ric Flair

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  Tatsumi Fujinami

  Tatsumi "Dragon" Fujinami

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  Martin Lunde

  Arn Anderson

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  Bobby Eaton

  Bobby Eaton

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  Rob Rechsteiner

  Rick Steiner

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  Scott Rechsteiner

  Scott Steiner

Critiques

À ce jour, WCW SuperBrawl: Return from The Rising Sun ne figure pas sur les sites d’agrégation de critiques cinématographiques tels que Rotten Tomatoes ou Metacritic, ces plateformes n’ayant pas l’habitude de référencer les pay-per-views de catch. En revanche, sur IMDb, l’événement recueille une note moyenne de 6,7/10 basée sur plusieurs centaines d’avis d’utilisateurs. Parmi les retours positifs, de nombreux fans soulignent la grandeur du Sumo Hall comme arène inattendue pour un show américain et apprécient le mélange d’influences nippones et occidentales. Un internaute sur IMDb a ainsi écrit : « Une atmosphère unique et des matches intenses qui raviront les aficionados du ring. » D’autres spectateurs relèvent la performance charismatique de Ric Flair, jugée cinématographique, et la fluidité des enchaînements techniques des Steiner Brothers. Cependant, quelques critiques font part de leur réserve face à la faiblesse spectaculaire de certaines séquences narratives entre les combats, estimant que l’accent est parfois trop mis sur le décor et moins sur la dramaturgie. Plusieurs commentaires regrettent aussi un rythme inégal, où certains affrontements apparaissent prolongés sans réellement accroître la tension. Malgré ces bémols, la majorité s’accorde à dire que SuperBrawl II reste un rendez-vous historique pour les amateurs de catch, offrant un spectacle riche en performances individuelles et en surprises typiquement japonaises.