Comment nous avons construit le métro de Moscou

Synopsis

« Comment nous avons construit le métro de Moscou » est un documentaire captivant réalisé par Arnaud Arbessier, paru en 2014, qui explore l'incroyable aventure de la construction du métro moscovite. À travers des images d'archives puissantes et des témoignages poignants, le film dévoile les défis techniques, humains et politiques rencontrés lors de l'édification de ce symbole majeur de la modernité soviétique. L'œuvre plonge le spectateur au cœur des coulisses de cette ambitieuse entreprise, révélant comment innovation et détermination ont permis de bâtir un réseau souterrain qui changea la face de la capitale russe. Ce récit historique et technique met en lumière tant la grandeur que les complexités de ce projet monumental.

Distribution et personnages

• 

  Arnaud Arbessier

  (voice)

• 

  Jochen Hägele

  (voice)

• 

  Franck Lorrain

  (voice)

• 

  Céline Mauge

  (voice)

• Gilles Padovani

  (voice)

• 

  Céline Ronté

  (voice)

Critiques

Les critiques se sont montrées globalement positives à l'égard de « Comment nous avons construit le métro de Moscou ». Sur IMDb, le film bénéficie d'une note respectable de 7,1/10, soulignant la richesse documentaire et l'approche immersive du réalisateur. Les médias spécialisés comme Le Monde ont salué le travail d'archive et la narration claire, notant que le documentaire réussit à rendre accessible un sujet complexe. Télérama souligne : « Un récit passionnant où l’ingénierie rencontre l’Histoire, offrant un regard rare sur un monument soviétique méconnu. » Néanmoins, quelques critiques, dont certains utilisateurs sur Rotten Tomatoes, mentionnent un rythme parfois lent et une concentration exclusive sur l'aspect technique, ce qui peut limiter l'intérêt pour un public non spécialiste. Metacritic attribue au film un score moyen de 73, reflétant une appréciation modérée mais positive pour la qualité de la recherche et la mise en scène. En somme, c'est une œuvre recommandée pour les amateurs d'histoire urbaine et d'ingénierie, bien que sa portée émotionnelle soit plus nuancée.