Das Glück läuft hinterher

Synopsis

"Das Glück läuft hinterher" est une comédie dramatique allemande sortie en 1963, mettant en vedette Werner Bruhns. Le film explore les mésaventures d'un personnage en quête de bonheur et de succès dans un monde souvent imprévisible et difficile. À travers des situations à la fois humoristiques et touchantes, le spectateur est invité à réfléchir sur la nature de la chance, de la persévérance, et des relations humaines. Le scénario offre une narration fluide qui équilibre habilement les moments légers et les instants plus profonds, révélant ainsi une vision nostalgique et contemporaine de la société de l'époque.

Distribution et personnages

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  Werner Bruhns

  Dieter Vorbauer

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  Dirk Dautzenberg

  Erich Abt

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  Benno Hoffmann

  Theo Schallbecher

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  Wera Frydtberg

  Margot Schallbecher

• Lisa Helwig

  Frau Schmolke

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  Helmut Förnbacher

  Otmar Eifert

Critiques

Les critiques de "Das Glück läuft hinterher" présentent un portrait mitigé mais globalement positif du film. Sur IMDb, le film obtient une note respectable de 7.2/10, indiquant une appréciation favorable de la part des spectateurs. Les critiques saluent particulièrement la performance de Werner Bruhns, soulignant son charisme et sa capacité à porter le récit avec naturel. Selon certains commentaires, le film réussit à infuser humour et émotion, créant une atmosphère légère tout en abordant des thèmes sérieux. Cependant, quelques critiques pointent du doigt un rythme parfois inégal et une intrigue qui aurait pu être davantage approfondie. Rotten Tomatoes ne présente pas de score officiel, ce qui souligne la rareté ou la spécificité du film sur les plateformes internationales, mais les avis collectés sur les forums cinéphiles allemands tendent à mettre en avant la qualité de la réalisation et l'authenticité des décors. En somme, "Das Glück läuft hinterher" est considéré comme une œuvre charmante et représentative du cinéma allemand des années 60, appréciée pour son ton et ses performances, bien qu'elle puisse laisser certains spectateurs sur leur faim quant à la profondeur narrative.