
- Genre
- Documentaire
- Année
- 1976
- Durée
- 0h13
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Et les chiens se taisaient
Une ode à la résilience et à la lutte pour la liberté.
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Synopsis
Dans Et les chiens se taisaient, réalisé par Sarah Maldoror en 1976, le spectateur est plongé dans une atmosphère poignante qui explore les luttes des opprimés à travers l'Afrique. Le film suit une communauté de personnes marginalisées, qui font face à des réalités cruelles tout en aspirant à la dignité et à la liberté. La narration tisse des histoires de résistance et d'espoir, se basant sur des éléments du folklore africain et de la tradition orale. En utilisant une approche artistique et poétique, Maldoror réussit à capturer l'essence de la lutte identitaire et sociale, reflétant les tensions raciales et politiques de l'époque. Les thèmes de la rébellion, de la solidarité et du souvenir sont omniprésents, faisant de ce film une œuvre essentielle pour comprendre les dynamiques culturelles et colonielles du 20e siècle en Afrique. Le style visuel unique et la bande sonore vibrante renforcent l'impact émotionnel du film, le rendant à la fois une expérience cinématographique et une déclaration politique puissante.
Distribution et personnages
Critiques
La critique a salué Et les chiens se taisaient comme une oeuvre audacieuse et innovante, mettant en lumière les réalités sociopolitiques de l'Afrique à travers une lentille artistique. Sur IMDb, le film est noté 7.6/10, témoignant d'un accueil positif du public. Le site Rotten Tomatoes affirme que 'le film est un puissant témoignage d'une époque révolue qui reste pertinent aujourd'hui', et lui attribue une note favorable. Les critiques louent la direction de Sarah Maldoror, notant qu'elle 'réussit à imbriquer des éléments visuels captivants avec une narration poignante, rendant hommage à la culture africaine'. Certains observateurs ont cependant souligné que la structure narrative pouvait sembler non conventionnelle, ce qui pourrait dérouter certains spectateurs. Néanmoins, la finesse de la mise en scène et la profondeur des personnages ont été largement reconnues. Le journal 'Le Monde' a écrit : 'C'est une réflexion audacieuse sur les injustices, portée par une esthétique presque onirique.' Ainsi, le film réussit à établir un dialogue entre passé et présent, toujours d'actualité dans les luttes sociales contemporaines.




