Aucun homme ni dieu

Synopsis

Dans Aucun homme ni dieu, réalisé par Jeremy Saulnier et sorti en 2018, Jeffrey Wright incarne un naturaliste désabusé qui se rend dans une petite communauté isolée en Alaska pour enquêter sur la disparition d'un enfant. Tandis qu'il se confronte à des habitants méfiants, il noue un lien inattendu avec la mère de l'enfant disparu, interprétée par Riley Keough. Le film explore des thèmes sombres de la nature humaine, de la solitude et de la lutte pour le pouvoir dans un cadre aride. L'atmosphère tendue et la photographie suggestive plongent le spectateur dans un monde où la survie est primordiale et où la lutte entre instinct et moralité remet en question les valeurs humaines fondamentales. À travers des paysages désolés et des performances intenses, 'Aucun homme ni dieu' propose une réflexion sur la violence inhérente à l'homme dans un environnement sauvage et impitoyable.

Distribution et personnages

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  Jeffrey Wright

  Russell Core

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  Alexander Skarsgård

  Vernon Slone

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  James Badge Dale

  Donald Marium

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  Riley Keough

  Medora Slone

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  Julian Black Antelope

  Cheeon

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  Tantoo Cardinal

  Illanaq

Critiques

Les critiques pour Aucun homme ni dieu ont été partagées, avec un consensus soulignant la puissance visuelle du film mais une intrigue parfois lente. Selon Rotten Tomatoes, le film affiche un score de 68 %, avec de nombreux critiques louant la direction artistique et l'ambiance. Le site a noté : 'Saulnier réussit à créer une atmosphère palpable qui enveloppe le spectateur.' D'autre part, IMDb lui a attribué un score de 5.6/10, signalant les frustrations de certains cinéphiles face à un rythme qui peut sembler interminable. De plus, Metacritic a donné un score de 63/100, notant que le film se perd parfois dans ses réflexions philosophiques. 'C'est un film qui, malgré ses moments de grande beauté, peut laisser le public perplexe', a commenté un critique d'IndieWire. En somme, bien que 'Aucun homme ni dieu' soit salué pour sa visuelle et sa capacité à susciter la réflexion, il laisse également un goût amer pour ceux qui recherchent une narration plus conventionnelle et rythmée.